tag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.comments2023-08-11T12:07:40.321+02:00Ce que dit PatacracPatacrachttp://www.blogger.com/profile/12137251337699147153noreply@blogger.comBlogger404125tag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-84368923426131054822022-11-16T11:37:24.079+01:002022-11-16T11:37:24.079+01:00FRANCFORT, 16 novembre (Reuters) - Les risques ent...FRANCFORT, 16 novembre (Reuters) - Les risques entourant la stabilité financière dans la zone euro sont en train d'augmenter à mesure que l'économie se rapproche de la récession, a déclaré mercredi la Banque centrale européenne (BCE), en soulignant que ces risques affectaient particulièrement les ménages, les entreprises et les Etats endettés.<br /><br />L'augmentation des prix de l'énergie a porté la probabilité d'une récession à 80% et la remontée des taux d'intérêt censée freiner la hausse des prix alimente déjà la volatilité des marchés et l'augmentation du coût des dettes.<br /><br />"Les risques pour la stabilité financière dans la zone euro ont augmenté sur fond d'envolée des prix de l'énergie, d'inflation élevée et de croissance économique faible", résume la BCE dans sa Revue de stabilité financière semestrielle.<br /><br />"L'ensemble de ces vulnérabilités pourraient se concrétiser simultanément et donc se renforcer les unes les autres."<br /><br />Le secteur bancaire de la zone euro est jugé globalement solide et il va bénéficier d'une amélioration de sa rentabilité liée à la hausse des taux d'intérêt.<br /><br />Mais à plus long terme, les difficultés économiques pourraient limiter la capacité des emprunteurs à rembourser leurs dettes, tandis que les banques pourraient se trouver confrontés à une augmentation de leurs coûts et à un ralentissement de la croissance du crédit.<br /><br />"Si le secteur bancaire a récemment connu un redressement de sa rentabilité avec la hausse des taux d'intérêt, on observe des signes de détérioration de la qualité du crédit, ce qui pourrait nécessiter une augmentation des provisions", explique la BCE.<br /><br />La capacité des Etats à maintenir le niveau actuel de dépense publique est en outre limitée et les mesures prises par bon nombre d'entre eux pour tenter de limiter l'impact de l'inflation sur les ménages risque de raviver les préoccupations liées à la dette publique, ajoute-t-elle.<br /><br />"Les niveaux élevés de dette publique après la pandémie, conjugués au resserrement des conditions de financement, limitent les marges de manoeuvre permettant des mesures budgétaires expansionnistes qui ne se traduiraient pas par des risques en matière de soutenabilité de la dette", estime la BCE.<br /><br />L'ensemble de ces facteurs augmentent le risque d'un ajustement désordonné sur les marchés financiers, susceptible d'affecter le reste de l'économie.<br /><br />Pour autant, a souligné Luis de Guindos, le vice-président de la banque centrale, lors d'une conférence de presse, l'institution doit continuer de donner la priorité à la lutte contre l'inflation.<br /><br />"Il est très difficile d'atteindre la stabilité financière sans la stabilité des prix", a-t-il dit. "Je crois que le principal risque pour la stabilité financière aujourd'hui, c'est le fait d'avoir une inflation aussi élevée."surfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-32226203618588694282022-10-24T15:17:47.945+02:002022-10-24T15:17:47.945+02:00Les publications vont ensuite s'accélérer, ave...Les publications vont ensuite s'accélérer, avec surtout les annonces des MAMAA ! Mais de quoi s'agit-il ? Tout simplement du nouvel acronyme des ex-GAFA, GAFAM et FAANG. Cette improbable dénomination avait été trouvée l'an dernier par l'animateur de CNBC Jim Cramer, connu pour son émission Mad Money. Les choix boursiers du présentateur sont souvent critiqués, au point que certains s'amusent... à faire l'inverse de ses conseils. Néanmoins, on ne peut nier son influence dans la communauté financière. Cramer avait inventé l'acronyme FANG (Facebook, Amazon, Netflix, Google), devenu ensuite FAANG avec l'inclusion d'Apple.<br /><br />Désormais, Facebook étant devenu Meta et Google ayant pris le nom d' Alphabet , un nouveau sigle était nécessaire. Les MAMAA ( Microsoft , Amazon , Meta , Apple et Alphabet ) sont donc de la partie cette semaine et les opérateurs surveilleront très attentivement leurs annonces, après la chute du Nasdaq de plus de 31% cette année.<br /><br />Dès demain mardi, après bourse, Microsoft et Alphabet dévoileront leurs derniers résultats financiers. Microsoft a perdu près de 28% cette année et la maison-mère de Google plus de 30%... Visa , Coca-Cola , Texas Instruments , UPS , Raytheon , Chubb , General Electric , 3M , Illinois Tool Works , Sherwin-Williams , Archer-Daniels , Valero , General Motors , Moody's , Twitter , Centene , Biogen , Halliburton , Kimberly-Clark , Corning ou Juniper , annoncent aussi mardi.<br /><br />Mercredi, Meta Platforms publiera après bourse. Le titre de la maison-mère de Facebook a dévissé cette année de plus de 61%... Thermo Fisher Scientific , Bristol-Myers Squibb , ADP , Boeing , Waste Management , General Dynamics , CME Group , Canadian Pacific Railway , ServiceNow , Boston Scientific , Norfolk Southern , Ford Motor , Hess , Kla Corporation , Krakt Heinz , Hilton Worldwide , Otis Worldwide ou Garmin , publient aussi mercredi.<br /><br />Jeudi, Apple et Amazon dévoileront leurs derniers chiffres après la clôture de Wall Street. Le titre du colosse de Cupertino a cédé 19% en 2022, tandis que celui du groupe de Jeff Bezos a abandonné 30%. Mastercard , Merck & Co , McDonald's , T-Mobile US , Comcast , Honeywell , Intel , Starbucks , S&P Global , Caterpillar , Anheuser-Busch , Gilead Sciences , Northrop Grumman , Altria , Shopify , Pinterest ou Capital One , annoncent également jeudi.surfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-84423668923080260392022-10-14T12:51:42.432+02:002022-10-14T12:51:42.432+02:00PARIS, 14 octobre (Reuters) - Les marchés financie...PARIS, 14 octobre (Reuters) - Les marchés financiers pourraient être en train d'intégrer des perspectives économiques trop optimistes, ce qui les rend vulnérables à une possible correction, a déclaré vendredi Christine Lagarde, la présidente de la Banque centrale européenne (BCE).<br /><br />"Cela rend les valorisations vulnérables à toute une série d'éventuelles surprises négatives, qu'il s'agisse de la croissance, de l'inflation, de la politique monétaire ou de la rentabilité des entreprises", a déclaré Christine Lagarde devant le Comité monétaire et financier international du Fonds monétaire international (FMI) à Washington.<br /><br />Christine Lagarde a averti que le potentiel de correction des prix du marché immobilier s'était accentué alors que les faibles réserves de liquidités des fonds d'investissement à capital variable impliquent que ces derniers pourraient aggraver une possible correction du marché à coup de ventes forcées.<br /><br />surfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-46489907752212946722022-03-03T22:51:39.707+01:002022-03-03T22:51:39.707+01:00Wynn and Encore Las Vegas begin phase of
The 오산 출장...Wynn and Encore Las Vegas begin phase of<br />The <a href="https://www.jtmhub.com/%ec%98%a4%ec%82%b0%ec%b5%9c%ea%b3%a0%ec%8b%9c%ec%84%a4%ec%b6%9c%ec%9e%a5%eb%a7%88%ec%82%ac%ec%a7%80.html/" rel="nofollow">오산 출장마사지</a> Wynn, Encore and Wynn resorts in Las Vegas will <a href="https://drmcd.com/%ed%8f%ac%ec%b2%9c%ec%b5%9c%ea%b3%a0%ec%8b%9c%ec%84%a4%ec%b6%9c%ec%9e%a5%ec%83%b5.html/" rel="nofollow">포천 출장마사지</a> begin operations beginning Friday, November <a href="https://drmcd.com/%ea%b0%95%eb%a6%89%ec%b5%9c%eb%8c%80%ea%b7%9c%eb%aa%a8%ec%b6%9c%ec%9e%a5%ec%95%88%eb%a7%88.html/" rel="nofollow">강릉 출장안마</a> 20, and will <a href="https://www.mapyro.com/%ec%98%a4%ec%82%b0%ec%b6%9c%ec%9e%a5%ec%83%b5.html/" rel="nofollow">오산 출장안마</a> feature 50000 square <a href="https://www.mapyro.com/%ec%b6%a9%ec%b2%ad%eb%b6%81%eb%8f%84%ec%b5%9c%eb%8c%80%ea%b7%9c%eb%aa%a8%ec%b6%9c%ec%9e%a5%ec%95%88%eb%a7%88.html/" rel="nofollow">충청북도 출장마사지</a> feet ofquanteaqazihttps://www.blogger.com/profile/12316891617922350342noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-88534094784305014662021-12-31T10:40:42.816+01:002021-12-31T10:40:42.816+01:00Omicron : Fauci prévoit un pic fin janvier
Boursie...Omicron : Fauci prévoit un pic fin janvier<br />Boursier le 31/12/2021 à 10:21<br /> Imprimer<br />Article lu 8 fois<br />© Reuters<br />Le Dr Anthony Fauci, conseiller de la Maison Blanche sur la crise sanitaire, a estimé que le pic de la vague du variant Omicron aux États-Unis pourrait intervenir à la fin du mois de janvier. Il s'agit d'une prévision relativement réconfortante, alors que le nombre de cas de contamination aux USA atteint un record. Le nouveau variant semble toutefois provoquer nettement moins d'hospitalisations et de décès que son prédécesseur, le Delta.<br /><br />Dans le même temps, les CDC ont tout de même rehaussé leur niveau d'alerte concernant les voyages en croisière au plus haut, demandant aux voyageurs, même vaccinés, d'éviter de tels voyages. Dans les airs cette fois, alors que les compagnies aériennes américaines continuent d'annuler des vols, la FAA prévient que son personnel de contrôle du trafic aérien pourrait également être sous pression...<br /><br />Les nouveaux traitements covid, les pilules de Pfizer et Merck, qui seront notamment distribués par Walmart, sont déjà en nombre insuffisant, réservés uniquement aux patients les plus à risque, note Bloomberg.<br /><br />De son côté, la Food & Drug Administration américaine devrait approuver les vaccins de rappel pour les 12 à 15 ans dès la semaine prochaine, relate le New York Times.<br /><br />La prudence domine chez les grandes entreprises américaines. Les banques JP Morgan et Citigroup encouragent ainsi le personnel à travailler à distance au cours des premières semaines de 2022, face à une augmentation très importante des infections au coronavirus.<br /><br />En Afrique du Sud, les nouvelles sont rassurantes. Les autorités affirment que le pic de la vague de Covid-19 a été atteint et viennent de lever le couvre-feu.surfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-11611514303047336532021-12-30T10:37:36.987+01:002021-12-30T10:37:36.987+01:00BARCELONE (Agefi-Dow Jones)--La propagation rapide...BARCELONE (Agefi-Dow Jones)--La propagation rapide du variant Omicron du coronavirus en zone euro et au Royaume-Uni pourrait entraîner de nouveaux confinements et inciter les consommateurs à la prudence, risquant ainsi de provoquer une contraction de l'activité économique au début de 2022, estiment les économistes de Berenberg. En cas de confinements stricts pendant tout le mois de janvier, le produit intérieur brut (PIB) de la zone euro et du Royaume-Uni pourrait diminuer de 1% au début de 2022 par rapport au trimestre précédent, préviennent-ils. Cependant, cette contraction devrait être compensée par un rebond de l'activité économique une fois les restrictions levées, comme cela a été le cas en 2021, et les perspectives de croissance resteraient ainsi globalement inchangées à long terme, indique Berenberg. "Nous considérons Omicron comme un risque pour le profil temporel mais pas pour le rythme global de la croissance", ajoute la banque.<br /><br />-Xavier Fontdegloria, Dow Jones Newswires (Version française Valérie Venck) ed: JXM<br /><br />Agefi-Dow Jones The financial newswiresurfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-28235520990840539122021-11-09T10:50:50.032+01:002021-11-09T10:50:50.032+01:00PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le dicton "Don't...PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le dicton "Don't fight the Fed" reprendrait-il du sens ? Les marchés, qui pariaient sur des hausses des taux bien plus tôt que prévu encore la semaine dernière, semblent mieux intégrer les messages accommodants des banques centrales. De la Banque centrale européenne (BCE), au travers des propos pugnaces de Christine Lagarde sur l'inflation le 28 octobre, à la Réserve fédérale (Fed), qui a déconnecté la hausse des taux du "tapering" le 3 novembre, en passant par la Banque d'Angleterre (BOE), qui a renoncé à la remontée de son taux directeur que tout le monde attendait le 4 novembre... Depuis, les taux à 10 ans ont bien baissé, à 1,48% pour l'US Treasury, -0,25% pour le Bund, 0,86% pour les Gilts.surfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-31561256980689884452021-10-22T17:00:17.708+02:002021-10-22T17:00:17.708+02:00Le rythme des publications trimestrielles va encor...Le rythme des publications trimestrielles va encore accélérer la semaine prochaine, en Europe comme aux Etats-Unis. Dès lundi, Eramet et Michelin seront sur le pont à Paris. Orange, M6, Thalès, Faurecia, Worldline, SEB, ou encore BIC seront de sortie le lendemain. Eutelsat, Sodexo, Maisons du Monde, Accor ou Schneider prendront le relai mercredi. Jeudi, Capgemini, Lagardère, Dassault Systèmes, TotalEnergies, TF1, Ubisoft, Valeo, Airbus passeront sur le gril. Enfin, BNP Paribas, Essilor ou Air France KLM clôtureront la semaine.<br /><br />A Wall Street, les géants de la tech (Amazon, Microsoft, Alphabet Apple, Facebook, Twitter) présenteront leurs trimestriels tout comme, Caterpillar, Chevron, Exon, Merck, Boeing, Ford, McDonalds, UPS, ou encore General Electric.<br />surfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-49446208766959244882021-10-04T10:50:02.953+02:002021-10-04T10:50:02.953+02:00Citant des sources proches du dossier, CNBC a rapp...Citant des sources proches du dossier, CNBC a rapporté que la représentante des Etats-Unis pour les questions commerciales internationales (USTR), Katherine Tai, allait indiquer que Pékin ne se conformait pas à l'accord commercial sino-américain de phase 1. La Chine n'est en effet pas parvenue à augmenter les achats de marchandises américaines de 200 milliards de dollars sur une période de deux ans, comme elle avait accepté de le faire lorsque l'accord avait été conclu en 2019.<br /><br />Les analystes ont noté que les achats de produits américains par la Chine jusqu'en août étaient estimés inférieurs d'environ 62% aux objectifs de l'accord commercial. Des sources ont déclaré que l'USTR évaluait les actions potentielles, y compris d'éventuels 'tarifs supplémentaires' sur les produits chinois importés aux USA. La semaine dernière, Tai avait déclaré à Politico que l'administration Biden prévoyait de "s'appuyer" sur les tarifs existants, alors que l'administration finalisait son examen de la politique commerciale américaine vis-à-vis de la Chine.<br /><br />Le Wall Street Journal avait également rapporté le mois dernier que l'administration Biden évaluait une nouvelle enquête sur les subventions chinoises et leurs dommages causés à l'économie américaine, un mouvement qui pourrait conduire à de nouveaux tarifs si la Chine ne modifiait pas ses pratiques commerciales.<br /><br />The Hill a précisé pour sa part que le département d'État américain était "très préoccupé" par "l'activité militaire provocatrice" de la Chine près de Taïwan, alors que des avions sont entrés à plusieurs reprises dans la zone défensive de Taïwan pendant le week-end de la fête nationale. Pékin menacerait ainsi la stabilité dans la région et poursuivrait par ailleurs sa pression économique. Vendredi, la Chine a fait voler 38 avions militaires dans la zone de défense aérienne de Taïwan. Samedi, 39 avions ont répété l'incursion, puis 16 dimanche. Le ministre taïwanais des Affaires étrangères a qualifié les vols de "menaçants"...surfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-27194939655234943912021-06-18T21:37:41.924+02:002021-06-18T21:37:41.924+02:00surfeuse18 juin 2021 à 09:25
Les banques centrales...surfeuse18 juin 2021 à 09:25<br />Les banques centrales prennent le pli du resserrement - Market Blog<br />DowJones le 18/06/2021 à 09:21<br />Imprimer<br />Article lu 2 fois<br />Par Xavier Diaz<br /><br />PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le resserrement monétaire est en marche. Les banques centrales dans les pays émergents mais aussi développés n'ont pas attendu la Réserve fédérale (Fed). Jeudi, la Norges Bank, qui a encore laissé ses taux inchangés, a indiqué prévoir une première hausse des taux en septembre.<br /><br />La banque centrale norvégienne a réitéré ces derniers mois son intention de resserrer sa politique monétaire dès cette année. L'économie norvégienne se relève de la crise sanitaire plus rapidement et fortement qu'anticipé, notent les stratégistes de Nordea. Le marché était partagé sur le calendrier de cette première hausse. La Norges Bank a clarifié la situation.<br /><br />"Elle a confirmé ses prévisions sur les futures hausses de taux en signalant clairement la première hausse en septembre", soulignent les stratégistes taux de Danske Bank. "La trajectoire a également été relevée, avec non seulement des hausses de taux plus précoces mais aussi plus nombreuses que dans la déclaration de mars", ajoutent-ils. L'institution monétaire compte relever ses taux à quatre reprises d'ici un an, a indiqué son gouverneur, Oeystein Olsen.<br /><br />"Ce message plus restrictif est conforme à nos anticipations mais a quelque peu surpris le marché", relèvent les stratégistes de Nordea pour qui un resserrement encore plus rapide n'est pas exclu à mesure que les taux longs sur les marchés internationaux grimperont à nouveau.<br /><br />Le Selic relevé pour la troisième fois<br /><br />Outre la dynamique de leurs économies, la plupart des banques centrales ayant annoncé un prochain resserrement de la politique monétaire ou déjà relevé les taux, se calent aussi sur la Fed, notamment dans les pays émergents. Le Brésil a relevé mercredi, pour la troisième fois consécutive, son principal taux directeur, le Selic, de 75 points de base (pb), à 4,25%.<br /><br />La décision était attendue mais pas le ton encore plus restrictif de l'institution monétaire. La banque centrale a modifié sa stratégie en remplaçant l'objectif d'une normalisation partielle par la neutralité de sa politique. La distinction est importante car cela signifie que le taux Selic pourrait grimper à 6,5% d'ici un an, voire davantage si la banque centrale ne souhaite pas se trouver derrière la courbe. Le resserrement monétaire de la Fed est un élément important mais le pays est aussi confronté à une inflation supérieure à la cible de la banque centrale (inflation de 8,2% contre un objectif de 3,75%).<br /><br />Plusieurs pays d'Europe centrale, également confrontés à une forte inflation, ont rejoint ces derrières semaines les rangs des banques centrales "hawkish". La Hongrie pourrait être, dès la semaine prochaine, la première institution de l'Union européenne à relever ses taux depuis le début de la crise, suivie probablement par la banque centrale tchèque.<br /><br />Aux antipodes, la Nouvelle Zélande et l'Australie sont également sur le chemin du resserrement. Des indicateurs économiques favorables renforcent ce scénario. Jeudi, la Nouvelle-Zélande a annoncé une croissance de 1,6% en rythme trimestriel au premier trimestre, supérieure aux attentes (+0,5%). En Australie, le marché de l'emploi continue de s'améliorer. La réunion de la banque centrale d'Australie en juillet sera un moment important, alors que cette dernière a clairement lié sa politique à celle de la Fed, note-t-on chez Deutsche Bank.<br /><br />La sortie des politiques de crise s'organise.Patacrachttps://www.blogger.com/profile/12137251337699147153noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-24619117809221436632021-06-18T21:21:21.292+02:002021-06-18T21:21:21.292+02:00surfeuse18 juin 2021 à 09:25
Les banques centrales...surfeuse18 juin 2021 à 09:25<br />Les banques centrales prennent le pli du resserrement - Market Blog<br />DowJones le 18/06/2021 à 09:21<br />Imprimer<br />Article lu 2 fois<br />Par Xavier Diaz<br /><br />PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le resserrement monétaire est en marche. Les banques centrales dans les pays émergents mais aussi développés n'ont pas attendu la Réserve fédérale (Fed). Jeudi, la Norges Bank, qui a encore laissé ses taux inchangés, a indiqué prévoir une première hausse des taux en septembre.<br /><br />La banque centrale norvégienne a réitéré ces derniers mois son intention de resserrer sa politique monétaire dès cette année. L'économie norvégienne se relève de la crise sanitaire plus rapidement et fortement qu'anticipé, notent les stratégistes de Nordea. Le marché était partagé sur le calendrier de cette première hausse. La Norges Bank a clarifié la situation.<br /><br />"Elle a confirmé ses prévisions sur les futures hausses de taux en signalant clairement la première hausse en septembre", soulignent les stratégistes taux de Danske Bank. "La trajectoire a également été relevée, avec non seulement des hausses de taux plus précoces mais aussi plus nombreuses que dans la déclaration de mars", ajoutent-ils. L'institution monétaire compte relever ses taux à quatre reprises d'ici un an, a indiqué son gouverneur, Oeystein Olsen.<br /><br />"Ce message plus restrictif est conforme à nos anticipations mais a quelque peu surpris le marché", relèvent les stratégistes de Nordea pour qui un resserrement encore plus rapide n'est pas exclu à mesure que les taux longs sur les marchés internationaux grimperont à nouveau.<br /><br />Le Selic relevé pour la troisième fois<br /><br />Outre la dynamique de leurs économies, la plupart des banques centrales ayant annoncé un prochain resserrement de la politique monétaire ou déjà relevé les taux, se calent aussi sur la Fed, notamment dans les pays émergents. Le Brésil a relevé mercredi, pour la troisième fois consécutive, son principal taux directeur, le Selic, de 75 points de base (pb), à 4,25%.<br /><br />La décision était attendue mais pas le ton encore plus restrictif de l'institution monétaire. La banque centrale a modifié sa stratégie en remplaçant l'objectif d'une normalisation partielle par la neutralité de sa politique. La distinction est importante car cela signifie que le taux Selic pourrait grimper à 6,5% d'ici un an, voire davantage si la banque centrale ne souhaite pas se trouver derrière la courbe. Le resserrement monétaire de la Fed est un élément important mais le pays est aussi confronté à une inflation supérieure à la cible de la banque centrale (inflation de 8,2% contre un objectif de 3,75%).<br /><br />Plusieurs pays d'Europe centrale, également confrontés à une forte inflation, ont rejoint ces derrières semaines les rangs des banques centrales "hawkish". La Hongrie pourrait être, dès la semaine prochaine, la première institution de l'Union européenne à relever ses taux depuis le début de la crise, suivie probablement par la banque centrale tchèque.<br /><br />Aux antipodes, la Nouvelle Zélande et l'Australie sont également sur le chemin du resserrement. Des indicateurs économiques favorables renforcent ce scénario. Jeudi, la Nouvelle-Zélande a annoncé une croissance de 1,6% en rythme trimestriel au premier trimestre, supérieure aux attentes (+0,5%). En Australie, le marché de l'emploi continue de s'améliorer. La réunion de la banque centrale d'Australie en juillet sera un moment important, alors que cette dernière a clairement lié sa politique à celle de la Fed, note-t-on chez Deutsche Bank.<br /><br />La sortie des politiques de crise s'organise.Patacrachttps://www.blogger.com/profile/12137251337699147153noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-14258552358029174952021-06-18T09:25:36.638+02:002021-06-18T09:25:36.638+02:00Les banques centrales prennent le pli du resserrem...Les banques centrales prennent le pli du resserrement - Market Blog<br />DowJones le 18/06/2021 à 09:21<br /> Imprimer<br />Article lu 2 fois<br />Par Xavier Diaz<br /><br />PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le resserrement monétaire est en marche. Les banques centrales dans les pays émergents mais aussi développés n'ont pas attendu la Réserve fédérale (Fed). Jeudi, la Norges Bank, qui a encore laissé ses taux inchangés, a indiqué prévoir une première hausse des taux en septembre.<br /><br />La banque centrale norvégienne a réitéré ces derniers mois son intention de resserrer sa politique monétaire dès cette année. L'économie norvégienne se relève de la crise sanitaire plus rapidement et fortement qu'anticipé, notent les stratégistes de Nordea. Le marché était partagé sur le calendrier de cette première hausse. La Norges Bank a clarifié la situation.<br /><br />"Elle a confirmé ses prévisions sur les futures hausses de taux en signalant clairement la première hausse en septembre", soulignent les stratégistes taux de Danske Bank. "La trajectoire a également été relevée, avec non seulement des hausses de taux plus précoces mais aussi plus nombreuses que dans la déclaration de mars", ajoutent-ils. L'institution monétaire compte relever ses taux à quatre reprises d'ici un an, a indiqué son gouverneur, Oeystein Olsen.<br /><br />"Ce message plus restrictif est conforme à nos anticipations mais a quelque peu surpris le marché", relèvent les stratégistes de Nordea pour qui un resserrement encore plus rapide n'est pas exclu à mesure que les taux longs sur les marchés internationaux grimperont à nouveau.<br /><br />Le Selic relevé pour la troisième fois<br /><br />Outre la dynamique de leurs économies, la plupart des banques centrales ayant annoncé un prochain resserrement de la politique monétaire ou déjà relevé les taux, se calent aussi sur la Fed, notamment dans les pays émergents. Le Brésil a relevé mercredi, pour la troisième fois consécutive, son principal taux directeur, le Selic, de 75 points de base (pb), à 4,25%.<br /><br />La décision était attendue mais pas le ton encore plus restrictif de l'institution monétaire. La banque centrale a modifié sa stratégie en remplaçant l'objectif d'une normalisation partielle par la neutralité de sa politique. La distinction est importante car cela signifie que le taux Selic pourrait grimper à 6,5% d'ici un an, voire davantage si la banque centrale ne souhaite pas se trouver derrière la courbe. Le resserrement monétaire de la Fed est un élément important mais le pays est aussi confronté à une inflation supérieure à la cible de la banque centrale (inflation de 8,2% contre un objectif de 3,75%).<br /><br />Plusieurs pays d'Europe centrale, également confrontés à une forte inflation, ont rejoint ces derrières semaines les rangs des banques centrales "hawkish". La Hongrie pourrait être, dès la semaine prochaine, la première institution de l'Union européenne à relever ses taux depuis le début de la crise, suivie probablement par la banque centrale tchèque.<br /><br />Aux antipodes, la Nouvelle Zélande et l'Australie sont également sur le chemin du resserrement. Des indicateurs économiques favorables renforcent ce scénario. Jeudi, la Nouvelle-Zélande a annoncé une croissance de 1,6% en rythme trimestriel au premier trimestre, supérieure aux attentes (+0,5%). En Australie, le marché de l'emploi continue de s'améliorer. La réunion de la banque centrale d'Australie en juillet sera un moment important, alors que cette dernière a clairement lié sa politique à celle de la Fed, note-t-on chez Deutsche Bank.<br /><br />La sortie des politiques de crise s'organise.<br /><br /> surfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-53921070152563534042021-06-01T11:49:58.735+02:002021-06-01T11:49:58.735+02:00PARIS (Agefi-Dow Jones)--L'activité du secteur...PARIS (Agefi-Dow Jones)--L'activité du secteur manufacturier dans la zone euro a enregistré une nouvelle croissance record en mai, selon les données définitives publiées mardi par IHS Markit.<br /><br />L'indice PMI manufacturier de la zone euro s'est établi à 63,1 en mai, contre 62,9 le mois précédent. L'indice de mai, supérieur à l'estimation provisoire de 62,8 publiée le 21 mai, a atteint son plus haut niveau depuis le lancement de l'enquête en juin 1997.<br /><br />Un chiffre supérieur à 50 signale une expansion de l'activité par rapport au mois précédent, tandis qu'un chiffre inférieur à 50 dénote un recul.<br /><br />"L'expansion du secteur manufacturier de la zone euro s'est poursuivie à un rythme inégalé au cours des près de 24 années d'enquête, l'indice PMI atteignant un niveau record pour un troisième mois consécutif en mai", commente Chris Williamson, économiste d'IHS Markit, cité dans le communiqué du fournisseur de données.<br /><br />Par pays, des taux de croissance records ont été enregistrées aux Pays-Bas, en Autriche, en Irlande et en Italie. En France, la croissance a atteint en mai son plus haut niveau depuis septembre 2000, avec un indice à 59,4 en mai, contre 58,9 en avril.<br /><br />L'Allemagne est le seul pays à avoir subi un ralentissement de la croissance du secteur manufacturier par rapport au mois précédent, selon les données de IHS Markit, mais l'expansion de l'activité a "toutefois conservé un rythme proche du record historique enregistré en mars". L'indice PMI du secteur manufacturier allemand s'est inscrit à 64,4 en mai, contre 66,2 le mois précédent.<br /><br />Vers une forte reprise économique au deuxième trimestre<br /><br />Selon Chris Williamson, la croissance très soutenue de la production en zone euro en mai "préfigure un fort rebond de l'économie au deuxième trimestre".<br /><br />L'économiste prévient toutefois que "les retards de livraisons d'intrants ont atteint des niveaux records au cours du mois, freinant la croissance de l'activité des fabricants et créant des contraintes de capacité sans précédent". Les prix des intrants ont également augmenté en raison de la hausse de la demande associée aux pénuries de produits, "le taux d'inflation atteignant un niveau inégalé au cours des 24 dernières années d'enquête", souligne-t-il.<br /><br />Selon Chris Williamson, la forte croissance de l'économie attendue pendant l'été devrait s'accompagner d'une accélération marquée de l'inflation.<br /><br />Ces tensions inflationnistes devraient toutefois se modérer dans les prochains mois, "au fur et à mesure que les perturbations créées par la pandémie s'atténueront et que les tensions sur les chaînes d'approvisionnement mondiales s'affaibliront", indique l'économiste. La demande devrait par ailleurs se déplacer des biens vers les services avec la réouverture des économies, "atténuant les pressions sur les prix mais permettant de soutenir la forte croissance de l'économie", ajoute-t-il.<br /><br />Ces données encourageantes pour l'économie de la zone euro soutiennent les marchés actions de la région mardi. A 11h15, l'indice Stoxx Europe 600 gagnait 1%. Le CAC 40 prenait 0,8% à Paris et le DAX 30 allemand s'adjugeait 1,4%.<br /><br />-Maylis Jouaret, Agefi-Dow Jones; mjouaret@agefi.fr ed: VLVsurfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-24888618877293420422021-01-26T14:53:50.686+01:002021-01-26T14:53:50.686+01:00Washington (AFP) -- La pandémie de Covid-19 va amp...Washington (AFP) -- La pandémie de Covid-19 va amputer le Produit intérieur brut mondial de 22.000 milliards de dollars entre 2020 et 2025, a indiqué mardi l'économiste en chef du Fonds monétaire international lors d'une conférence de presse.<br /><br />Il s'agit d'une "perte cumulée" qui est à comparer avec le niveau du PIB mondial que le FMI avait estimé avant la pandémie, a précisé Gita Gopinath en présentant les dernières prévisions économiques mondiales. L'impact est donc "substantiel", a-t-elle commenté.<br /><br />En juin 2020, le FMI avait estimé à plus de 12.000 milliards de dollars les pertes cumulées pour l'économie mondiale pour 2020 et 2021.<br /><br />Avec ses nouvelles prévisions, l'institution souligne que les pertes cumulées vont se poursuivre alors que la pandémie n'est toujours pas sous contrôle avec l'apparition de variants du nouveau coronavirus qui frappe notamment la Grande-Bretagne.<br /><br />Gita Gopinath a souligné que "le fardeau de la crise" est supporté de "manière disproportionnée" par les personnes les moins qualifiées, les femmes et les jeunes, rappelant que les progrès réalisés en matière de lutte contre la pauvreté avaient été inversés.<br />surfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-7453044152507898382021-01-25T12:08:33.309+01:002021-01-25T12:08:33.309+01:00"Sur le front des indicateurs macroéconomique..."Sur le front des indicateurs macroéconomiques, les investisseurs attendent jeudi et vendredi les premières estimations du produit intérieur brut (PIB) des Etats-Unis, de la France et de l'Allemagne au quatrième trimestre.<br /><br />Les publications de résultats d'entreprises animeront les marchés tout au long de la semaine, avec notamment LVMH, UBS, General Electric et Microsoft mardi. Mercredi, Boeing, Apple, Facebook, et Tesla dévoileront leurs chiffres mercredi. La fin de semaine verra les publications de Diageo, H&M ou encore STMicroelectronics."surfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-41119810006575153532020-12-10T19:35:32.902+01:002020-12-10T19:35:32.902+01:00Bruxelles (AFP)--Les dirigeants de l'UE, réuni...Bruxelles (AFP)--Les dirigeants de l'UE, réunis en sommet, ont adopté jeudi un compromis sur l'Etat de droit permettant la levée des vetos hongrois et polonais sur le budget et le déblocage du plan de relance européen post-Covid, a annoncé le président du Conseil européen Charles Michel.<br /><br />Le budget de l'UE 2021-2027 (1.074 milliards) et le plan de relance post-Covid (750 milliards d'euros) avaient été adoptés en juillet mais étaient bloqués par Budapest et Varsovie pour s'opposer à un mécanisme conditionnant le versement des fonds européens au respect de l'Etat de droit.surfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-57453244867763766522020-12-10T15:53:37.247+01:002020-12-10T15:53:37.247+01:00Washington (AFP) --Les résultats complets des essa...Washington (AFP) --Les résultats complets des essais cliniques du vaccin contre le Covid-19 développé par l'alliance américano-allemande Pfizer-BioNTech ont été publiés jeudi dans le New England Journal of Medicine, la revue médicale la plus cotée aux Etats-Unis.<br /><br />La revue scientifique estime dans un éditorial que les résultats confirment un "triomphe" du vaccin, alors qu'un comité d'experts convoqué par l'Agence américaine des médicaments (FDA) a commencé jeudi à examiner en public les données du produit, dans le but de recommander ou non son autorisation de mise sur le marché, ce qui ne laisse plus guère de doute.<br /><br />Les fabricants avaient publié eux-mêmes des résultats par communiqués de presse le 18 novembre, et mardi la FDA avait rendu public sa propre synthèse détaillée des résultats sur l'efficacité et la sécurité du vaccin.<br /><br />La publication de jeudi confirme la très forte efficacité: les gens vaccinés avaient 95% de risque en moins de contracter le Covid-19, la maladie causée par le nouveau coronavirus. Et l'efficacité était similaire quels que soient l'âge, le sexe, l'origine ethnique, le poids ou la présence de pathologies.<br /><br />L'étude confirme également l'innocuité du vaccin. Les effets indésirables tels que douleurs autour du point d'injection dans le bras, fatigue et maux de tête sont fréquents, mais aucun problème grave de sécurité n'a été relevé dans l'essai clinique, qui a à ce jour recruté 44.000 personnes, dont la moitié a reçu le vaccin et l'autre moitié un placebo.<br /><br />La validation par un comité de lecture composé de scientifiques indépendants de Pfizer et de la FDA est une confirmation supplémentaire des résultats des essais, et représente le plus haut niveau de validation scientifique.<br /><br />Deux responsables du New England Journal of Medicine, dans leur éditorial, soulignent "des problèmes mineurs" dans les données, notamment l'inconnue sur la capacité du vaccin à prévenir les formes asymptomatiques de la maladie.<br /><br />Mais ils concluent: "Néanmoins, les résultats de l'essai sont suffisamment impressionnants pour rester valables dans n'importe quelle analyse. C'est un triomphe".surfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-20582121891676015372020-12-10T15:42:04.707+01:002020-12-10T15:42:04.707+01:00PARIS (Agefi-Dow Jones)--"Nous croyons fermem...PARIS (Agefi-Dow Jones)--"Nous croyons fermement que la zone euro peut se redresser en 2021 et la réunion de la Banque centrale européenne (BCE) d'aujourd'hui fournit des raisons supplémentaires d'être optimiste", a commenté jeudi Marion Amiot, économiste senior chez S&P Global Ratings, suite à la réunion de la banque centrale.<br /><br />"Grâce à son soutien accru, les économies de la zone seront mieux placées pour résister aux divers re-confinements", a estimé la conjoncturiste.<br /><br />S&P prévoit un rebond de 4,8% du produit intérieur brut (PIB) de la zone euro en 2021, après une contraction de 7,2% en 2020. La BCE table pour sa part sur une croissance du PIB de la zone euro de 3,9% en 2021, après une contraction de 7,3% en 2020.<br /><br />"Ce rebond sera soutenu par le déploiement prévu de vaccins au cours du premier semestre, un soutien additionnel de la politique monétaire de la BCE jusqu'à la fin de 2021, et une relance budgétaire", a souligné Marion Amiot.<br /><br />La BCE a annoncé jeudi une augmentation de l'enveloppe et de la durée du Programme d'achats d'urgence pandémique (PEPP) et s'est engagée à continuer de fournir des liquidités aux banques par le biais notamment de ses opérations ciblées de refinancement à long terme (TLTRO).<br /><br />-Eric Chalmet, Agefi-Dow Jonessurfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-87082521966186892132020-11-20T15:27:07.440+01:002020-11-20T15:27:07.440+01:00Attention aux 'head fake' et aux 'valu...Attention aux 'head fake' et aux 'value traps' ! Alors que la rotation sectorielle est la grande tendance du moment dans les salles de marché, deux grands gestionnaires d'actifs avertissent sur le fait que ce mouvement pourrait ne pas durer bien longtemps.<br /><br />Un vaccin efficace contre le Covid-19 pourrait redonner vie à l'économie mondiale en aidant les secteurs qui ont été frappés par la pandémie et en stimulant les actions bon marché. Toutefois, les investisseurs devront faire preuve de prudence, car beaucoup de mouvements observés ces dernières semaines semblent exagérés et peuvent conduire à des 'value traps' (lorsque un titre décoté apparaît à tort comme une belle opportunité), affirme à 'Bloomberg' Matt Orton, vice-président du gestionnaire d'actifs américain Carillon Tower Advisers. "Techniquement et du point de vue de l'enthousiasme des investisseurs, nous semblons un peu tendus à court terme et il y a encore beaucoup d'incertitudes d'ici février ou mars de l'année prochaine", explique le spécialiste. Il y a en effet potentiellement d'autres mesures de confinement à venir alors que les cas de Covid-19 augmentent et il y a encore un second tour des élections en Géorgie, deux éléments qui ajoutent aux incertitudes de court terme.<br /><br />Selon lui, les sociétés énergétiques et financières représentent les plus importantes 'value traps' car ces deux secteurs sont "structurellement en difficulté". Au lieu de cela, à court terme, "je me positionnerais en faveur de la croissance mais je pencherais vers la cyclicité", note Matt Orton. Il cite comme exemple les sociétés de cartes de crédit telles que Visa et Mastercard qui sont un pari sur la réouverture de l'économie mondiale. Il aime également les entreprises de semi-conducteurs et de biens d'équipement semi-finis.<br /><br />De la même manière, Talley Leger, stratégiste chez Invesco, estime que les nouvelles positives concernant les vaccins pourraient ne pas suffire à propulser l'économie mondiale vers une reprise durable, et ainsi freiner la rotation vers les actions 'value'. "Il pourrait s'agir d'une autre fausse tête, comme nous en avons vu tant récemment". Le spécialiste pense que la seule façon d'avoir une rotation durable vers la 'value' est d'avoir un gouvernement américain unifié, qui pourrait mettre en place un programme fiscal de soutien important. "Je pense donc qu'en fin de compte, nous reviendrons à l'ancienne norme où la technologie et la croissance sont plus performantes".surfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-39701285740430769352020-11-18T21:04:52.232+01:002020-11-18T21:04:52.232+01:00Chute inédite du marché mondial du luxe en 2020, l...Chute inédite du marché mondial du luxe en 2020, lesté par le virusMERCREDI, 18.11.2020<br />La crise provoque la plus lourde chute jamais enregistrée, avec un recul prévu de l'activité de 23% en 2020 par rapport à 2019, à 217 milliards d'euros (235 milliards de francs) de ventes, d'après une étude du cabinet Bain and Co.<br /><br />En Europe la chute est de 36% à 57 milliards d'euros, pour le continent américain le recul est de 27% à 62 milliards d'euros quand le Japon perd 24% à 18 milliards d'euros et le reste de l'Asie reflue de 35% à 27 milliards d'euros.(Keystone)<br /><br />La pandémie de Covid-19, qui entrave le tourisme et provoque des fermetures massives de magasins, devrait entraîner "une chute sans précédent" de l'activité du marché mondial du luxe en 2020, selon une étude du cabinet Bain and Co.<br /><br />"La crise provoque la plus lourde chute jamais enregistrée", avec un recul prévu de l'activité de 23% en 2020 par rapport à 2019, à 217 milliards d'euros (235 milliards de francs) de ventes, seule la Chine étant épargnée, affirme le rapport publié mercredi.<br /><br />Ces difficultés s'accompagnent de profondes transformations: les achats en ligne devraient faire un bond, pour représenter 23% du marché contre seulement 12% en 2019, poursuit le cabinet.<br /><br />Dans ce contexte fortement ébranlé par la pandémie, les consommateurs attendent en outre de plus en plus de la part des marques de luxe des démonstrations de leurs engagements en matière de responsabilité, souligne le cabinet.<br /><br />"L'incertitude devrait dominer encore dans les mois qui viennent" anticipe-t-il en prévoyant un retour au niveau de 2019 d'ici à 2022-2023.<br /><br />Au milieu du marasme, la Chine est la seule région qui va terminer l'année sur une note positive, en enregistrant une hausse de 45% (aux taux de change actuels) pour atteindre 44 milliards d'euros de ventes, portée par la consommation locale, détaille l'étude.<br /><br />En Europe la chute est de 36% à 57 milliards d'euros, pour le continent américain le recul est de 27% à 62 milliards d'euros quand le Japon perd 24% à 18 milliards d'euros et le reste de l'Asie reflue de 35% à 27 milliards d'euros.<br /><br />La part des achats effectués localement devraient s'élever cette année pour atteindre 80 à 85%, estime le cabinet.<br /><br />Et selon Bain and Co., tous les produits personnels de luxe -la maroquinerie, la mode, l'horlogerie, la joaillerie et les parfums et cosmétiques- devraient connaître un repli.(ats)surfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-70821231529400031372020-11-11T10:39:05.431+01:002020-11-11T10:39:05.431+01:00Goldman Sachs plébiscite les actions européennes. ...Goldman Sachs plébiscite les actions européennes. L'accélération de la croissance et une politique monétaire très accommodante sont particulièrement favorables aux places boursières du Vieux continent, affirme la banque d'affaires américaine, qui a relevé son objectif à 12 mois sur le Stoxx 600 à 430 (386 actuellement). Un niveau toujours en deçà du pic de 433 atteint en février.<br /><br />Les stratèges de GS prévoient un rebond des bénéfices du Stoxx Europe de 50% en 2021 et de 12% en 2022. Ils voient la 'value' et les actions cycliques être les principales bénéficiaires de ce momentum et s'attendent à ce que la rotation dure plus longtemps que la moyenne historique de 4 mois étant donné la forte reprise et l'écart de valorisation extrême.<br /><br />Dans ces conditions, les spécialistes de GS restent à 'surpondérer' sur les bancaires, l'énergie, l'automobile, les ressources de base et la construction et les matériaux. Ils 'conservent' la technologie et 'sous-pondèrent' les défensives. En outre, ils recommandent toujours les probables gagnants à long terme tels que les groupes évoluant dans les énergies renouvelables, les soins de santé et les produits de luxe.<br />surfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-50675798341714092572020-11-11T10:38:01.135+01:002020-11-11T10:38:01.135+01:00https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Les-ve...https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Les-vendeurs-a-decouvert-se-font-rincer-par-la-brusque-rotation-sectorielle--31743929/<br />surfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-42197932353135560582020-11-11T10:06:43.816+01:002020-11-11T10:06:43.816+01:00Le Forum annuel de la BCE sur les activités de ban...Le Forum annuel de la BCE sur les activités de banque centrale, qui se tient d'habitude à Sintra, au Portugal, aura lieu cette année en visioconférence, les 11 et 12 novembre.surfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-51234518271529718782020-11-05T13:31:35.910+01:002020-11-05T13:31:35.910+01:00L'Allemagne, première économie européenne, est...L'Allemagne, première économie européenne, est parvenue à modérer l'ampleur de la chute, avec un PIB en recul de "seulement" 5,6% en 2020.<br /><br />Pour limiter la casse et faciliter la reprise, la Commission européenne a suspendu en mars ses règles de discipline budgétaires: les Etats membres peuvent ainsi dépenser autant que nécessaire pour soutenir leurs entreprises et leurs travailleurs.<br /><br />Conséquence: les déficits publics devraient largement se creuser en 2020, renvoyant la fameuse "règle des 3%" à une époque qui semble désormais lointaine et peut-être révolue.<br /><br />Cette année, quatre pays --France, Italie, Espagne, Belgique-- devraient même voir leur déficit dépasser 10% de leur PIB en 2020.<br /><br />Ces dépenses à tout-va, ainsi que la récession, vont donc creuser un peu plus la dette des Etats membres. Pour l'ensemble de la zone euro, celle-ci dépassera en 2020 le seuil symbolique de 100% du PIB.<br /><br />Les niveaux seront particulièrement inquiétants en Grèce (207,1% en 2020) et en Italie (159,6%). La dette française devrait quant à elle atteindre 115,9% du PIB en 2020 et continuer à progresser en 2021 et 2022.<br /><br />Malgré ce contexte, M. Gentiloni a appelé jeudi les Etats membres à poursuivre leurs "politiques économiques et budgétaire favorables" à la croissance.<br /><br />Il espère aussi que la mesure-phare décidée par l'UE pour relancer l'économie du continent, une dette commune colossale destinée à financer les plans de relance des Etats membres, pourra être mise en oeuvre dès le "premier semestre 2021".<br /><br />Problème: le Parlement européen et les Etats membres peinent pour l'instant à accorder leurs violons sur le futur budget de l'UE pour la période 2021-2027, auquel ce plan de relance est adossé.<br /><br />Agefi-Dow Jones The financial newswire<br />surfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8103363649131000947.post-44719552184183708722020-11-05T13:30:11.108+01:002020-11-05T13:30:11.108+01:00UPDATE2: Bruxelles exclut une reprise économique r...UPDATE2: Bruxelles exclut une reprise économique rapide en zone euro<br />DowJones le 05/11/2020 à 13:11<br /> Imprimer<br />Article lu 4 fois<br />Bruxelles (AFP) --La Commission européenne a dressé jeudi un tableau alarmant de la situation économique de la zone euro, profondément affectée par la pandémie de Covid-19, excluant tout retour rapide à la normale.<br /><br />Dans ses prévisions présentées jeudi, l'exécutif européen table sur une chute de 7,8% du produit intérieur brut (PIB) dans la région en 2020. Du jamais-vu depuis la création de la monnaie unique en 1999.<br /><br />Cette récession est certes un peu moins grave que les -8,7% anticipés cet été, mais le rebond espéré à partir de l'an prochain (+4,2%) devrait, lui aussi, être beaucoup moins fort que les 6,1% de croissance prévus initialement.<br /><br />En cause: la deuxième vague de la pandémie qui frappe actuellement l'Europe, contraignant plusieurs pays à reconfiner en partie leur population. Elle "crée encore plus d'incertitudes et anéantit nos espoirs d'un rebond rapide", a résumé le vice-président de la Commission, Valdis Dombrovskis.<br /><br />"Nous n'avons jamais compté sur une reprise en forme de V. Maintenant, nous savons avec certitude que nous ne l'aurons pas", a renchéri le commissaire européen à l'Economie, Paolo Gentiloni.<br /><br />Bruxelles estime que l'activité "reviendra à peine au niveau pré-pandémique en 2022". Mais elle souligne que le "degré élevé d'incertitudes" qui pèse encore sur l'économie plaide plutôt pour un retour à la normale en 2023.<br /><br />Parmi ces incertitudes figure bien sûr une possible nouvelle aggravation de la crise sanitaire qui réduirait encore l'activité et ferait s'envoler le chômage.<br /><br />Mais Bruxelles évoque aussi la future relation commerciale avec le Royaume-Uni. Les deux parties peinent à négocier un accord qui entrerait en vigueur l'an prochain, ce qui "pèse clairement" sur les perspectives économiques de l'UE, a estimé Valdis Dombrovskis.<br /><br />La Commission prend d'ailleurs un parti pessimiste, ses prévisions étant fondées sur le scénario d'un "no deal" en fin d'année.<br /><br />- Les dettes s'envolent -<br /><br />Si l'ensemble des 19 pays de la zone euro entrent sans surprise en récession cette année, trois souffrent particulièrement: l'Espagne (-12,4%), l'Italie (-9,9%) et la France (-9,4%). Ces chiffres reflètent à la fois la sévérité de la crise sanitaire dans ces pays et leur plus forte dépendance aux services, notamment liés au tourisme. L'industrie a globalement mieux encaissé le choc.<br /> surfeusehttps://www.blogger.com/profile/14212693443203992106noreply@blogger.com