vendredi 28 décembre 2018

Tableau CAC, DJIA du vendredi 28 décembre 2018

Bonjour,

Nouveaux points : 
CAC : Néant
DJIA : J20000 - 


CAC en haut :
N4700, N4710,
N4720, N4730, N4740, N4750, N4760, N4770, ****, N4790,...
N4800,...N4810, N4820, N4830, N4840,...
N4850, N4860, N4870,...N4880, N4890, N4900, N4910, N4920, N4930,...N4940, N4950, N4960, N4970,...
N4980, N4990, N5000, N5010, N5020, N5030, N5040, N5050,...
N5060, N5070, N5080, N5100, N5110,...N5120, N5130,...N5140,...
N5150, N5160,...N5170, N5180, N5170, N5180, N5190, N5200,...
N5210, N5220, N5230, N5240,...N5250, N5260, N5270, 
N5280, N5290, N5300, N5310, N5320,,...N5330, N5340, N5350,...
N5360, N5370, N5380, N5390, N5400, N5410,...N5420, 
N5440, N5450, N5460, N5470, N5480, N5490, N5500, N5510,...
N5510,...N5520,  N5540,...N5550, N5560,...
N5580,...N5600, N5610, N5620,...N5630, N5640, N5650,...
5700,  5750,  5850,  5900, 5950,  6000, 6050, 6100, 6150, 6200 Fin

CAC en bas :  
N4550, N4540, N4530, N4520,... N4510, N4500, N4490,...N4480, N4460, N4450, N4440, N4420, N4400,...N4380, N4360, N4350, N4340, N4320,...N4300,...N4280, N4260,N4250,...N4200,... N4150, N4100, N4050, N4000, N3950, N3900, N3850, N3800, N3750 Fin

DJIA en haut :
N23200, N23300
N23400, N23500, N23600, N23700, N23800, N23900, N24000,...
N24100,...N24200, N24300, N24400, N24500, N24600, N24700,...
N24800, N24900,...N25000,...N25100, N25200, N25300, N25400, N25500, 
N25600, N25700, N25800,...N25900,...N26000, N26100,...N26200,...
N26300, N26400, N26500, N26600,... 26700, 26800, 26900, 
27000, 27100, 27200, 27300, 27400, 27500, 27600, 27700, 27800, 
27900 28000, 28500, 29000, 29500, 30000, 30500 Fin

DJIA en bas : 
N21900, N21800, N21700, N21600,...
N21500,..N21000,...N20500,...J20000 ,...Fin
Remontée fantastique du DJIA depuis 20:20, un peu bizarre cette remontée, une intervention ? le CAC devrait modestement en profiter.
Sinon pour les points, il semble bien que ce soit le minimum et que pour le DJIA, le Staff CAC est probablement parti en congé...?
Bonne journée

1 commentaire:

  1. PARIS (Agefi-Dow Jones)--Difficile de s'en rappeler alors qu'elle se termine en pleine tourmente sur les marchés, mais l'année 2018 avait démarré en trombe pour l'économie de la zone euro. Depuis, les déceptions se sont accumulées sur le front de la conjoncture, ramenant les projections de croissance pour l'année de 2,3% à leur maximum à 1,9% selon les dernières publications de la Banque centrale européenne (BCE).

    Mais ce ralentissement de l'économie européenne n'est pas tant le résultat d'un affaiblissement interne permanent que de facteurs temporaires ou extérieurs, montrent deux économistes de la BCE dans son bulletin économique de décembre publié jeudi. "Au total, le récent ralentissement de la croissance n'a pas, jusqu'à présent, remis en cause les fondamentaux de l'expansion économique actuelle", écrivent Maarten Dossche et Jaime Martinez-Martin.

    Solidité de la demande intérieure

    C'est avant tout la demande extérieure qui a entraîné le bond de l'activité en 2017 et son ralentissement en 2018, expliquent-ils. Les exportations nettes, qui ont contribué positivement à la croissance de la zone en 2017, ont au contraire été un frein en 2018. Et "en tant que principal producteur de biens échangeables, le secteur industriel a été le plus affecté par le déclin des exportations nettes", à quoi il faut ajouter sur la deuxième partie de l'année l'effet négatif significatif des nouvelles normes anti-pollution sur la production automobile. L'Allemagne, le moteur de la croissance en zone euro depuis la crise, a ainsi enregistré une contraction au troisième trimestre.

    Pour autant, "la solidité de la demande intérieure reflète le cercle vertueux entre l'emploi, les revenus du travail et la consommation", jugent les économistes de la BCE, qui estiment que "ce cercle vertueux n'a pas, jusqu'à présent, été touché par la perte de dynamisme récente de la croissance". Ainsi, même si les PMI montrent un affaiblissement de la demande depuis la fin 2017, ils témoignent dès la mi-2017 de contraintes de capacité dans l'industrie, qui restent significatives "particulièrement en Allemagne, et dans une moindre mesure, en France".

    Si les conclusions des économistes de la BCE sont rassurantes sur la santé sous-jacente de l'économie européenne, elles peuvent inquiéter à l'aune des turbulences actuelles, notamment commerciales. "Les risques pour l'activité globale sont baissiers", prévient la BCE.

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