vendredi 28 février 2020

Tableau CAC, DJIA du vendredi 28 février 2020

Bonjour,
Nouveaux points : 
CAC : J5600,****
DJIA : J27200, J27300, J27400, J27500, J27600, J27700, J27800, J27900

CAC en haut : 

J5600 ****,,,,,
N5620, N5630, N5640, N5650, N5660, N5670, N5680, N5690, N5700, N5710, N5720, N5730, N5740,,,,
N5750, N5760, N5770, N5780, N5790, N5800, N5810, N5820,...
N5830, N5840, n5850, n5860, N5870, N5880, N5890, N5900, N5910, N5920, N5930, N5940, N5950, N5960,...
N5970, N5980, N5990, N6000, N6010, N6020, N6030, N6040, N6050, N6060,...N6070, N6080, N6090, N6100, N6110,...
6120, 6130, 6140, 6150, 6160, 6170, 6180, 6190, 6200, 
6210, 6220, 6230,  6240, 6250, 6260, 6280, 6300, 6320, 6340, 6350,
6360, 6380, 6400, 6420, 6440, 6450, 6460, 6480 6500, 6520, 6540
6550, 6560, 6600, 6650, 6700, 6750, 6800, 6850, 6900, 6950, 7000 Fin

CAC en bas :

N5420, N5410, N5400,...
N5390, N5380, N5370, N5360,...N5350, N5340, N5330,...
N5320, N5310,...N5300, N5290, N5280, N5270, N5260,...
N5250, N5240, N5230, N5220, N5210, N5200, N5190, N5180,...N5170, N5160,...N5150, N5140,... 
N5130, NN5120, N5110, N5100, N5090, N5080, N5070, N5060,...
N5050N5040,...N5030, N5020, N5010, N5000, N4950, 
N4900, N4850, N4800  Fin

DJIA en haut : 
J27200, J27300, J27400, J27500, J27600, J27700, J27800, J27900,,,,
N28000, N28100, JN28200, N28300, N28400, N28500, N28600,N28700, N28800, N28900,...N29000, N29100, N29200,...N29300,...N29400,...N29500,...29600, 29700, 30000, 30100, 30200, 30300, 
30400, 30500, 31000, 31500, 32000, 32500, 33000, 33500, 34000 Fin

DJIA en bas :
N25700,...N25600, N25500, N25000, N24500,....N24000,... N22500 Fin
ILs ont peur ils suppriment les points rouges DJIA et les J points verts sont à des années lumière des cotations,,,finalement mon allusion aux N4950 dernier point rouge au début de la baisse n'était pas si bête que cela,,,
Bonne journée,

2 commentaires:

  1. The Wall Street Journal

    NEW YORK (Agefi-Dow Jones)--Manier la politique monétaire pour neutraliser les effets économiques de l'épidémie de coronavirus serait un peu comme employer un marteau pour tenter de dévisser un boulon. Mais si un marteau est le seul outil dont vous disposez, vous l'utilisez.

    Cette épidémie constitue certainement le plus grand risque auquel se trouve confrontée l'économie mondiale depuis la crise financière de 2008. Une bonne partie de la Chine - la deuxième économie de la planète - tourne toujours au ralenti. Or, la propagation du virus risque d'inciter d'autres pays à adopter des mesures de quarantaine ou de confinement semblables à celles appliquées en Chine. Ce spectre plane notamment sur les Etats-Unis, où les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont averti les Américains qu'ils devraient se préparer à d'importantes interférences dans leur vie quotidienne.

    Les investisseurs s'attendent désormais à ce que la Réserve fédérale (Fed) tente de calmer le jeu. D'après l'évolution des contrats à terme sur les taux fournis par l'opérateur CME, la probabilité que la Fed procède à au moins deux baisses avant la fin 2020 se situe actuellement à 90%. Au début janvier, avant que le coronavirus ne fasse la une des journaux, cette probabilité était inférieure à 25%.

    Des marges de manoeuvre limitées

    Les investisseurs n'ont commencé à prendre pleinement conscience de la menace du coronavirus que cette semaine. Or les retombées économiques du Covid-19 pourraient s'avérer plus conséquentes qu'ils ne l'anticipent. La marge de man?uvre de la Fed en matière d'assouplissement monétaire est bien plus limitée qu'elle ne l'était lorsque la dernière récession a éclaté à la fin 2007.

    La fourchette cible de la Fed pour les taux au jour le jour se situe actuellement entre 1,5% et 1,75%, alors que son objectif de décembre 2007 s'élevait à 4,25%. La banque centrale ne dispose pas non plus d'une aussi grande latitude en matière de taux à long terme. Lorsque la Fed a annoncé sa deuxième série d'achats de bons du Trésor en novembre 2010, le rendement du bon du Trésor à 10 ans se situait à environ 2,6%. Aujourd'hui, ce rendement s'inscrit à environ 1,3%.

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  2. La principale préoccupation de la Fed est la suivante : la politique monétaire risque de ne pas autant soutenir une économie en proie au coronavirus que lors des difficultés déjà rencontrées par le passé.

    L'objectif de la Fed lorsqu'elle assouplit sa politique - en réduisant ses taux au jour le jour et en prenant des mesures exceptionnelles pour répondre à la crise financière - est d'inciter les entreprises et les ménages à emprunter, dépenser davantage et moins épargner. Lorsqu'une perte de confiance dans l'économie se situe au c?ur du problème, c'est un bon moyen de faire redémarrer l'activité.

    Il en va tout autrement si les entreprises sont confrontées à des bouleversements sur leur chaîne logistique du fait de la propagation du coronavirus en Chine et ailleurs. Réduire le loyer de l'argent ne résoudrait pas le problème le plus immédiat : le fait que les entreprises ne puissent plus se procurer des produits dont elles ont besoin.

    Et si l'épidémie venait à se disséminer aux Etats-Unis, la réduction des coûts d'emprunt peinerait à contrebalancer l'impact économique associé aux mesures de confinement sanitaire mises en place par les autorités et adoptées par des entreprises et des consommateurs inquiets. A titre d'exemple, un assouplissement de la politique monétaire de la Fed n'encouragerait pas beaucoup d'Américains à se rendre soudainement au cinéma.

    Assouplir pour tenir jusqu'à ce que cesse la crise

    Adopter des mesures d'assouplissement soulagerait toutefois l'économie. Une politique accommodante permettrait d'alléger la charge financière des entreprises qui subissent des ruptures d'approvisionnement et peinent à vendre leurs produits. Cela les aiderait à poursuivre leurs activités et conserver leurs employés jusqu'à ce que la crise prenne fin. Il en va de même pour les ménages qui tentent de rembourser leurs emprunts.

    Une fois ces difficultés surmontées - car les efforts pour contenir l'épidémie de coronavirus auront finalement payé, qu'un vaccin aura été mis au point, ou parce que tant de personnes auront été infectées qu'une immunité collective s'imposera naturellement - une politique monétaire plus souple pourrait contribuer à accélérer la reprise économique.

    Si l'épidémie de coronavirus commence à perturber l'économie, la Fed agira, ce qui apportera un petit stimulant à l'activité. Mais pour réanimer l'économie et les Américains, un véritable vaccin serait bien plus efficace.

    -Justin Lahart, The Wall Street Journal

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