jeudi 6 avril 2017

Tableau CAC, DAX, DJIA du jeudi 6 avril 2017

Bonjour,

Nouveaux points :
CAC : J5070, J5080, J5090, J5100, J5110, ****
DAX :  Néant
DJIA : Néant

CAC en haut : 
J5070, J5080, J5090, J5100, J5110, ****
5130, 5140, 5150, 5160, 5170, 5180, 5190,...5200, 5210, 5220, 5230, 5240 , 5250, 5260,5270, 5280, 5290...5300, 5310, 5320, 5340, 5350,...5360,****,5380,**** 5400, 5420, 5440, 5450, 5460, 5480, 5500, 5520, 5540, 5550, 5600, 5650, 57005750, 5800, 5850, 5900, 5950, 6000, 6050, 6100, 6150 Fin

CAC en bas : 
N5070,...N5060, N5050,...N5040, 
N5030, N5020, N5010,...
N5000, N4990, N4980,...N4970, N4960,....
N4950, N4940,...N4930, N4920, N4910, 
N4900,...N4890, N4880, N4870, N4860, N4850, N4840,...N4830, N4820, N4810,...N4800, N4790, N4780, N4770,...N4760, N4750, N4740,...N4730, N4720, N4710, N4700, N4690, N4680, N4670, N4660,...N4650, N4640, N4630, N4620, N4610, N4600, N4590, N4580, N4570, N4560,...N4550, N4540, N4530, N4520, N4510,...N4500,...N4490, N4480,...N4470, N4460, N4450, N4440, N4430, N4420, N4410, N4400, N4390, N4380, N4370, N4360, N4350,...N4340, N4330, N4320,...N4310, N4300,...4270,  4250, 4240, 4230, 4220, 4210, 4200, 4150,...4100, 4050,  4000,...3950 Fin

DAX en haut : 
12400, 12500, 12600, 12700 12800, 12900, 
13000, 13200, 13400, 13500, 13600, 13800, 14000
 Fin

DAX en bas : N12200,... N12100,...N12000,...N11900,...N11800,...N11700,...N11600,...N11500,...N11400,...N11300,...N11200,...N11100,...N11000, N10900,...N10800, N10600,...N10500,... Fin

DJIA en haut : 
 
N21000,...N21250, 21500, N21750, 22000, 22500, 23000, 23500, 24000 Fin

DJIA en bas : N20250,...N20000,...N19750,...N19500,...N19250, N19000,...N18750,...N18500,  N18250, 
18000,...17750,...17500, Fin

Bon d'après le tableau de ce jour, on remonterait jusque J511x, mais les points test vont jusque 5160, un peu déconcerté par ce yo-yo, se seraient-"ils" trop habitués à ce manège répétitif pour l'adopter jusqu'à preuve du contraire ?
Bonne journée.

1 commentaire:

  1. FRANCFORT (Agefi-Dow Jones)--Le président de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi, a repoussé jeudi l'idée que l'institution puisse relever prochainement ses taux d'intérêt et a averti qu'il était trop tôt pour commencer à réduire ses mesures de relance monétaire.
    Alors que le renforcement de l'économie de la zone euro s'accélère, de hauts responsables de la BCE ont tenu des propos contradictoires concernant la possibilité que la banque centrale soit prête à commencer à retirer son vaste dispositif de relance, qui associe un programme d'achats d'obligations (QE) de 2.300 milliards d'euros et des taux d'intérêt ultra-bas.
    Les investisseurs parient sur un relèvement des taux directeurs de la BCE au début de l'année 2018, avant la fin de son programme de QE.
    Lors d'un événement à Francfort, le président de la BCE a indiqué qu'il ne voyait pas de raison de s'écarter des indications actuelles, selon lesquelles les taux d'intérêt ne seront relevés qu'après le retrait du programme d'achats d'obligations.
    Il a mentionné les signes d'une généralisation de la reprise économique dans les 19 pays de la zone euro, mais a également affirmé qu'il était "prématuré de crier victoire" concernant le redressement de l'inflation.
    Des outils de politique monétaire "complémentaires"
    Le chef économiste de la BCE, Peter Praet, a tenu un discours similaire lors de ce même événement à Francfort. Il a averti que s'écarter des indications actuelles de la BCE sur la trajectoire des taux d'intérêt pénaliserait la crédibilité de la banque centrale et "réduirait une source importante de relance."
    "Nos instruments de politique [monétaire] sont très complémentaires", a ajouté Peter Praet.
    Les hauts responsables de la BCE semblent avoir des avis partagés sur la voie à suivre. Le gouverneur de la banque centrale des Pays-Bas, Klaas Knot, également membre du conseil des gouverneurs de la BCE, a déclaré lors d'un entretien en mars que la reprise de la zone euro était "extrêmement vigoureuse" et que la BCE avait déjà commencé à infléchir progressivement sa politique. Cependant, son homologue belge, Jan Smets, a indiqué au Wall Street Journal qu'aucune inflexion de la politique monétaire n'avait été mise en oeuvre.
    Plusieurs responsables de la BCE craignent que l'accélération de l'inflation repose sur les prix de l'énergie et ne soit pas durable.
    Mario Draghi et Peter Praet ont insisté sur ce point jeudi, en affirmant que le rebond de l'inflation dépendait des mesures de relance de la BCE.
    "Une réévaluation de la politique monétaire actuelle de la BCE n'est pas justifiée à ce stade," a martelé Mario Draghi.

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