mardi 4 avril 2017

Tableau CAC, DAX DJIA du mardi 4 avril 2017

Bonjour,

Nouveaux points :
CAC : J5090, J5100, J5110, J5120 - J6150
DAX :  J12200 - J12700 - J12700
DJIA : Néant

CAC en haut : 
J5090, J5100, J5110, J5120,...5130, 5140, 5150, 5160, 5170, 5180, 5190,...5200, 5210, 5220, 5230, 5240 , 5250, 5260,5270, 5280, 5290...5300, 5310, 5320, 5340, 5350,...5360,****,5380,**** 5400, 5420, 5440, 5450, 5460, 5480, 5500, 5520, 5540, 5550, 5600, 5650, 57005750, 5800, 5850, 5900, 5950, 6000, 6050, 6100, J6150 Fin

CAC en bas : 
N5090, N5080, N5070,...N5060, N5050,...N5040, N5030, N5020, N5010,...N5000, N4990, N4980,...N4970, 
N4960,....
N4950, N4940,...N4930, N4920, N4910, 
N4900,...N4890, N4880, N4870, N4860, N4850, N4840,...N4830, N4820, N4810,...N4800, N4790, N4780, N4770,...N4760, N4750, N4740,...N4730, N4720, N4710, N4700, N4690, N4680, N4670, N4660,...N4650, N4640, N4630, N4620, N4610, N4600, N4590, N4580, N4570, N4560,...N4550, N4540, N4530, N4520, N4510,...N4500,...N4490, N4480,...N4470, N4460, N4450, N4440, N4430, N4420, N4410, N4400, N4390, N4380, N4370, N4360, N4350,...N4340, N4330, N4320,...N4310, N4300,...4270,  4250, 4240, 4230, 4220, 4210, 4200, 4150,...4100, 4050,  4000,...3950 Fin

DAX en haut : 
12400, 12500, 12600, J12700 12800, J12900, 13000, 13200, 13400, 13500, 13600, 13800, 14000
 Fin

DAX en bas : J12200,... N12100,...N12000,...N11900,...N11800,...N11700,...N11600,...N11500,...N11400,...N11300,...N11200,...N11100,...N11000, N10900,...N10800, N10600,...N10500,... Fin

DJIA en haut : 
 
N21000,...N21250, 21500, N21750, 22000, 22500, 23000, 23500, 24000 Fin

DJIA en bas : N20250,...N20000,...N19750,...N19500,...N19250, N19000,...N18750,...N18500,  N18250, 
18000,...17750,...17500, Fin

L'Open à propulsé le CAC jusque 5099.70 à 9:12 pour redescendre à 9:55 à 5078.86, Yo-Yo circus très ennuyeux pour les amateurs de trades ID, ou Swing, de plus une zone test haute apparaît de J5120 à 5170, on est pas sorti de l'auberge "des Bull's" semble-t-il...
Bonne journée.

1 commentaire:

  1. (Agefi-Dow Jones)--La remontée spectaculaire des valeurs bancaires européennes depuis plusieurs mois a fait long feu, les doutes augmentant sur la probabilité d'un retour durable de l'inflation. Société Générale (GL.FR), Crédit Agricole SA (ACA.FR) et BNP Paribas (BNP.FR) accusent les trois plus fortes baisses de l'indice CAC 40 sur les cinq dernières séances, avec des replis respectifs de 4,63%, 2,83% et 2,57%. A l'échelle européenne, l'indice Stoxx 600 du secteur bancaire cède 1,41% depuis le début de la semaine.
    Il affichait encore vendredi un rebond de plus de 50% depuis son plus bas annuel atteint au début juillet 2016, une performance près de deux fois supérieure à celle de l'indice Euro Stoxx 50 sur la même période. Depuis l'été dernier, les valeurs bancaires européennes bénéficiaient de la remontée des taux à long terme, conséquence de l'amélioration des perspectives de croissance et d'inflation de part et d'autre de l'Atlantique et, plus récemment, de la politique expansionniste promise par le président américain Donald Trump.
    "La hausse des rendements obligataires explique 80% environ de la performance boursière des valeurs bancaires européennes depuis l'élection présidentielle américaine", affirment les analystes de Credit Suisse dans une note à leurs clients. Et pour cause : la repentification de la courbe des taux, c'est-à-dire le creusement de l'écart entre taux longs et taux courts, a bénéficié aux marges nettes d'intérêt des banques. Ces marges, issues de la transformation de ressources à court terme en prêts à long terme, pâtissaient depuis plusieurs années de l'aplatissement de la courbe des taux consécutive à la politique ultra-accommodante de la Banque centrale européenne (BCE).
    Les chiffres de l'inflation tempèrent l'optimisme
    Ces dernières semaines, la hausse des valeurs bancaires européennes s'était encore accélérée, certains investisseurs ayant interprété le tout petit pas de la BCE vers la normalisation de sa politique monétaire comme le signe d'une prochaine remontée de ses taux directeurs. Or une hausse de 10 points de base des taux de la BCE engendrerait une augmentation de 5% à 6% des résultats des banques européennes, d'après les analystes de Morgan Stanley. Et un relèvement de 40 points de base du seul taux de dépôt de la BCE, qui, à -0,40% actuellement, agit comme une taxe sur les liquidités déposées par les banque au sein de l'institution, déboucherait sur une progression de 3% de leurs bénéfices, estime Credit Suisse.
    Les derniers chiffres de l'inflation ont tempéré l'optimisme des opérateurs de marché. Après avoir atteint l'objectif de 2% de la BCE en février, l'inflation dans la zone euro a ralenti à 1,5% en mars. Surtout, l'inflation hors prix de l'énergie et de l'alimentation, particulièrement volatils, s'est limitée à 0,7% le mois dernier, contre 0,9% en février.
    A ce ralentissement s'ajoute, depuis l'échec du projet de réforme de l'assurance-santé aux Etats-Unis, les doutes grandissants sur la capacité de l'administration Trump à mettre en place sa politique de l'offre susceptible de dynamiser l'inflation non seulement aux Etats-Unis mais également en Europe.
    La récente détente sur le marché européen de la dette montre que la thématique de la "reflation" (retour de la croissance et de l'inflation), avec à la clé un relèvement des taux de la BCE, s'essouffle. Entraînant dans son sillage les valeurs bancaires européennes, d'autant plus qu'après leur rally enclenché en juillet dernier, celles-ci sont proches de leur "juste valeur", à une fois leur actif net tangible (actif net défalqué des écarts d'acquisition et des immobilisations corporelles), d'après Credit Suisse.

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